Les tensiomètres à poignet

Le tensiomètre à poignet est le plus pratique. Grâce à sa taille réduite, il est facile à transporter. L’écran numérique sur lequel s’affichent les mesures de la pression systolique, de la pression diastolique et le pouls, est relié au brassard. Ce brassard s’enroule sur le poignet et il se gonfle et se dégonfle automatiquement pour faire la mesure.
Le problème avec ce type de tensiomètre c’est que le risque de résultats erronés est élevé. Car il faut adopter une position assez complexe pour avoir un résultat exact. Il faut que le bras soit correctement placé au niveau du cœur pour que l’appareil y soit à proximité.

Les tensiomètres à bras

Le tensiomètre à bras est un peu plus encombrant par rapport au tensiomètre à poignet. Mais ils ont le même principe sauf que pour le tensiomètre à bras, le brassard s’enroule sur le bras. Ce type de tensiomètre n’est toutefois pas indiqué aux personnes seules, car il est assez difficile à positionner.
Le tensiomètre à bras est recommandé par les médecins, car sa place au bras est plus près du cœur. Toutefois, pour ne pas fausser les mesures, le brassard choisi doit être adapté à la corpulence de la personne. Il est recommandé de mesurer le tour de bras avant d’en acheter.

Les tensiomètres connectés

De plus en plus de tensiomètres connectés font leurs apparitions sur le marché. Ce type de tensiomètre est associé à une application gratuite via une connexion Bluetooth. Il existe des modèles qui peuvent être utilisés indépendamment de l’application. Et d’autres qui sont dépourvus d’écran, et ne peuvent être utilisés qu’avec une tablette ou un Smartphone.
L’installation du programme sur le mobile est expliquée dans la notice du tensiomètre. Mais si vous n’êtes pas complètement à l’aise avec les nouvelles technologies, il vaut mieux opter pour le modèle qui ne soit pas uniquement connecté.

Avant d’en acheter, assurez-vous que l’appareil que vous avez choisi dispose d’une validation par les autorités de la santé publique. Il est d’ailleurs recommandé de se tourner vers les pharmacies pour acheter ces tensiomètres électroniques.

L’assurance-vie

Parmi les assurances existantes, le contrat d’assurance-vie est le plus choisi par les ménages français. À noter qu’il est considéré comme un placement financier, une sorte d’épargne. Ce type d’assurance vous permet de réaliser des économies, grâce au versement régulier de primes ou au versement d’un capital unique, investi sur des supports financiers.

• Le contrat monosupport dont la totalité du capital est placée sur un fonds sécurisé appelé fonds en euros. Des intérêts sont générés tous les ans et il n’y a pas de risque de perte. Votre assureur garantit la valeur de votre contrat.

• Le contrat multisupport dont une partie du capital est placée sur le fonds en euros et une autre partie est investie sur des unités de compte.

Grâce à l’assurance-vie, vous bénéficiez d’une épargne qui s’accroît année après année, et que vous pouvez utiliser de votre vivant. En effet, vous pouvez disposer des sommes épargnées à tout moment, par exemple pour financer un projet immobilier ou pour enrichir vos revenus quand la retraite viendra. Si vous veniez à mourir, le capital sera remis aux bénéficiaires que vous avez identifiés à l’avance dans la clause « bénéficiaires » de votre contrat.

L’assurance décès

Beaucoup confondent cette assurance avec l’assurance-vie. Or, celle-ci est plutôt une assurance de prévoyance et son principe est exclusivement assurantiel. En effet, l’assurance décès vise à protéger vos proches contre les problèmes financiers liés à votre mort. En contrepartie des primes que vous avez versées, une rente ou un capital seront transmis aux bénéficiaires que vous avez déjà mentionnés dans le contrat (conjoint, enfants, autres).

Les cotisations, souvent mensuelles, varient en fonction des options que vous aurez choisies et de la valeur du capital garanti déterminée lors de la souscription. À noter que vous avez le choix entre deux types de contrats d’assurance décès :

• L’assurance temporaire décès qui est limitée dans le temps, par un âge (par exemple 75 ans) ou par une date. Le risque de décès est couvert jusqu’à l’échéance du contrat. Si la disparition ne survient pas avant cette échéance, le capital ne sera pas récupéré : cotisations à fonds perdu.

• L’assurance décès vie entière dont la durée est indéterminée. Un capital ou une rente sera directement remis aux bénéficiaires quand le décès surviendra.

L’assurance obsèques

Comme l’assurance décès, l’assurance obsèques est aussi un contrat de prévoyance. Elle permet de libérer vos proches des problèmes financiers et administratifs liés à votre disparition. Au moment du décès, à travers le contrat d’assurance, un capital sera aussi versé. Sauf que pour cette assurance, le capital est uniquement destiné à l’organisation de vos obsèques quand le jour viendra. Le bénéficiaire peut être :

• une personne physique : la famille, les proches ;
• une personne morale : une société de pompes funèbres qui sera chargée d’organiser les funérailles.

Vous pouvez souscrire à ce contrat auprès d’un établissement financier tel qu’une compagnie d’assurance, une mutuelle ou une banque. Si vous souhaitez signer un contrat en prestations, vous devez d’abord passer par un opérateur funéraire.

Qu’est-ce qu’un appareil auditif vous apporte ?

Un appareil auditif est un dispositif vous permettant de mieux entendre les sons et les paroles. Un tel appareil peut aussi réduire les acouphènes si vous en souffrez et diminuer, voire éliminer les sifflements et les bourdonnements à l’intérieur de vos oreilles. Donc, un appareil auditif améliore votre quotidien, votre concentration, vous appréciez mieux ce que vous faites, ce que vous mangez, votre sommeil. Vous n’êtes pas perturbé par des bruits parasites qui finissent par donner la migraine, parfois la nausée. Ce qui est vraiment positif de nos jours, c’est qu’on trouve de nombreux modèles, de marques, de types et de caractéristiques d’aides auditives. Alors, visitez ce site pour trouver l’appareil auditif qui répond à vos besoins. Certains sont minuscules et se font très discrets, sans que cela diminue la qualité de l’écoute. Personne ne sait que vous en portez, tant l’appareil s’enfonce loin dans le conduit auditif. Vous pouvez faire toutes les activités qui vous plaisent, vous trouver dans n’importe quel environnement, vous ne serez pas gêné par l’appareil invisible. Les autres modèles sont tout aussi efficaces pour vous aider à retrouver une audition la plus naturelle possible.

Comment choisir un appareil auditif ?

Le choix d’un appareil auditif ne doit pas se faire sur un coup de tête. Déjà, vous devez vous adresser à un audioprothésiste pour qu’il vous conseille sur le modèle le plus adapté pour vous. Il va vous proposer un choix basé sur votre mode de vie, vos préférences personnelles, vos besoins et peut-être aussi vos moyens. Sachez que si vos deux oreilles sont touchées, vous devez porter deux appareils parce qu’un seul s’avère souvent insuffisant. Si le prix est un facteur primordial pour vous, informez-vous sur les remboursements de l’Assurance Maladie. Puis, faites votre choix parmi la gamme toute faite qui est souvent à prix abordable. Mais si vous privilégiez la qualité et le confort, les appareils auditifs invisibles représentent le meilleur choix. Ceux qui sont sur-mesure coûtent encore plus chers mais vous pouvez être sûrs qu’ils vous donneront entière satisfaction. Sinon, en cas de perte d’audition modérée ou dans les cas les plus sévères, les contours d’oreilles sont recommandés. Ils sont faciles à manipuler et très pratiques. Pour vous qui êtes en quête d’esthétisme et de modernité, optez pour les micro-contours de petite taille. Ils sont confortables et discrets. Enfin, il y a l’appareil auditif invisible qui est prescrit en cas d’audition légère à modérée. Donc, à vous de choisir le modèle qui vous convient le mieux, mais tenez compte des conseils de votre médecin ORL et de votre audioprothésiste.

La cannelle et sa qualité haut de gamme

Vous connaissez sans doute ce qu’est la cannelle. C’est une sorte d’épice que les chefs cuisiniers mettent dans les plats. La cannelle est l’une des épices les plus utilisées dans la vie de tous les jours. Cela est tout bonnement due par le fait qu’elle présente d’innombrables avantages dans plusieurs domaines. Tout le monde sait que la cannelle donne un parfum particulier dans les plats concoctés. Toutefois, elle tient aussi un rôle important sur l’autel de la santé. Selon les chercheurs, il est déjà prouvé que la cannelle favorise la digestion et a des effets bénéfiques sur le sommeil. Elle peut aussi aider les gens à lutter contre les maux de ventre. L’idéal dans ce type d’épice, c’est que vous aurez aussi droit à l’amélioration de votre mémoire. Les cannelles se vendent un peu partout. Le prix varie en fonction de la qualité du produit.

Le curcuma et le gingembre

Quand il s’agit d’épices, le curcuma et le gingembre sont beaucoup plus connus. Ce sont des épices qui servent à beaucoup de choses. C’est la raison pour laquelle presque tout le monde opte pour ces derniers. Depuis l’antiquité, ces deux épices ont séduit les adeptes de la cuisine de bien des manières. Ils sont utilisés pour conserver les plats, mais aussi pour les parfumer. Du côté du régime et de la diète, ils présentent de nombreux bienfaits. Les vertus antioxydantes du curcuma préviennent le vieillissement de l’organisme humain. Le gingembre prend part dans la réduction du risque de maladies cardio-vasculaires tout en rehaussant le goût des aliments. Pour être précis, il est apte à régulariser les plats de façon pas trop salés ni trop sucrés.

Un aliment riche

Composé à plus de 80 % de glucides, le miel est un aliment fabriqué par les abeilles à partir du nectar des fruits. Il comporte du fructose et du glucose, des sucres simples qui n’ont pas besoin de digestion et très facilement assimilables par l’organisme. Il est riche en potassium, en antioxydants mais il a aussi des effets prébiotiques. Vous comprenez donc à quel point le miel est riche en énergie mais surtout il est pur. C’est un aliment particulièrement calorique avec 304 cal/100 g, essentiellement en raison de sa grande richesse en glucides. Ces caractéristiques montrent combien le miel est un aliment qui peut apporter énormément à votre santé.

Des bienfaits incomparables

Le bas pH du miel et sa grande viscosité donnent à cet aliment un puissant pouvoir antibactérien. Il permet de traiter certaines affections gastro-intestinales, voire les prévenir, c’est-à-dire qu’il empêche les cellules bactériennes de se fixer et de se développer au niveau de l’intestin. C’est aussi un anti-inflammatoire de qualité mais aussi une importante source d’antioxydants. Il permet donc, dans une certaine mesure, de neutraliser les radicaux libres, ce qui prévient l’apparition de certains cancers, des maladies cardiovasculaires et des maladies neuro-dégénératives. Privilégiez les miels aux couleurs naturelles sombres, comme le miel de sarrasin ou de tournesol, plus riches en flavonoïdes pour une meilleure action antioxydante. Il ne faut pas non plus oublier l’effet prébiotique du miel, ce qui veut dire qu’il améliore la croissance des bactéries utiles pour l’organisme.

En France, la Sécurité sociale prend en charge le remboursement d’une partie des frais de santé. Pour chaque acte médical, un montant est défini, c’est ce qu’on appelle le tarif de convention. L’Assurance maladie vous remboursera sur cette base un pourcentage. Ce reliquat, c’est le ticket modérateur. Cette partie restante sera couverte par la mutuelle santé que vous avez souscrite. Celle-ci peut également vous couvrir si votre médecin pratique des dépassements d’honoraires, frais jamais remboursés par la Sécurité sociale.

Une bonne mutuelle est ainsi primordiale, car certains soins sont peu, voire pas du tout, remboursés par l’Assurance maladie. Votre complémentaire santé doit donc s’adapter à vos besoins et être performante dans ces domaines.

Un changement facilité depuis le 1er décembre 2020

Si vous n’êtes pas pleinement satisfait de votre mutuelle santé, sachez que depuis le 1er décembre 2020, il est bien plus facile et rapide d’en changer. Désormais, vous pouvez résilier votre mutuelle à tout moment au bout d’un an de souscription. Avant, il fallait attendre la date d’échéance convenue lors de l’adhésion. Cette démarche est gratuite, et ne répond à aucune condition, outre la durée d’un an de contrat à respecter.

Il est toutefois possible de changer de mutuelle avant l’année révolue en cas :

– D’augmentation injustifiée du tarif des cotisations ;
– De changement de situation (mariage, déménagement, divorce, nouvelle activité professionnelle…) ;
– D’obligation de souscrire une mutuelle d’entreprise ;
– De non-respect de l’obligation d’information par l’assureur.

Encadré : penser à anticiper
Un changement de mutuelle doit être réfléchi. Si vous prévoyez de résilier votre contrat de mutuelle, commencez à en chercher une nouvelle avant la fin de celui-ci. Ne pas être couvert n’est pas recommandé et peut vous coûter cher en cas d’accident. Anticipez donc pour ne pas avoir de grosse période sans couverture santé.

Comment résilier sa mutuelle ?

Les démarches de suspension de complémentaire santé sont très simples. Il vous suffit d’envoyer une lettre de résiliation, en recommandé avec accusé de réception, avec votre nom et votre numéro d’assuré à votre compagnie d’assurance. La résiliation prendra effet un mois à compter de la date de réception de votre courrier.

Dans certains cas, votre nouvelle mutuelle peut vous proposer de faire cette démarche de résiliation pour vous auprès de votre ancien organisme.

Vos besoins évoluent et votre mutuelle doit s’adapter à ces changements. Depuis le 1er décembre 2020, les démarches de résiliation et de souscription d’une nouvelle mutuelle sont simples et rapides.

Le rein, un organe méconnu

Si on vous demande : « savez-vous où se trouvent vos reins ? », sauriez-vous répondre sans faute à cette question ? Le fait est que le rein est un organe mal connu et peu de gens sont capables de le localiser correctement. Même son rôle dans l’organisme est méconnu. De plus, une fois qu’il tombe malade, c’est seulement lorsque les fonctions rénales baissent à moins de 10 % de leur capacité que les symptômes commencent à apparaître et que les douleurs se font sentir. Alors, le premier ennemi des reins, c’est la hausse de la pression sanguine, les maladies des artères les affectent directement. Le diabète est aussi dangereux pour les reins, c’est-à-dire l’excès de sucre dans le sang.

Des facteurs qui mettent à mal vos reins

Ce qui peut faire du mal à vos reins, c’est l’obésité. La graisse exerce une pression néfaste sur les filtres rénaux et d’ailleurs, l’obésité s’accompagne souvent de problèmes de pression artérielle et de diabète. Donc, l’obésité peut entraîner l’insuffisance rénale. Si vous ne buvez pas d’eau en quantité suffisante chaque jour, cela peut nuire à vos reins. Alors, pensez à vous hydrater même si vous n’avez pas soif : 1,5 à 2 l par jour sont recommandés par les médecins pour préserver vos reins. Une alimentation hyperprotéinée peut également être une ennemie de vos reins car ceux-ci doivent produire un effort supplémentaire pour les assimiler, ce qui finit par les épuiser.

Quelles lentilles sont faites pour mes yeux ?

Les lentilles de contact peuvent compenser différentes déficiences visuelles : l’hypermétropie, la myopie, la presbytie, l’astigmatisme, etc. Certains troubles visuels comme la déviation oculaire ne peuvent être corrigés qu’avec des lunettes de vue.

Les lentilles de contact se déclinent sous plusieurs formes pour corriger des problèmes optiques différents. Ces formes sont catégorisées en fonction de leur « modalité », c’est-à-dire, en fonction de la fréquence de changement des lentilles. En général, il existe 4 modalités : les lentilles journalières (à renouveler tous les jours), bimensuelles (toutes les 2 semaines), mensuelles et les lentilles à port continu. Ces formes sont conçues pour répondre à des besoins différents. Il existe par exemple des lentilles pour myopes, des lentilles pour astigmates, etc.

Les puissances ou « dioptries » sont également des éléments à prendre en compte dans le choix de vos lentilles de contact. Cette information figure sur votre prescription ou sur la boîte des lentilles. Vous y trouverez un signe + ou – suivi de chiffres. La forme de vos lentilles dépend de cette information.

Plus lourdes sur le bas, les lentilles toriques aident à corriger l’astigmatisme. Les lentilles sphériques, qui sont parfaitement uniformes, sont faites pour corriger l’hypermétropie et la myopie.

Tout comme pour les lunettes de vue, le conseil d’un spécialiste est indispensable pour déterminer les lentilles les mieux adaptées à vos besoins.

Vous voulez changer vos lunettes pour des lentilles ? Cette page sur la conversion lunettes lentilles peut vous aider à connaître les caractéristiques que doivent avoir vos lentilles de contact.

La propreté : la priorité absolue des porteurs de lentilles

Puisque les lentilles sont en contact direct avec l’œil, le soin et l’hygiène doivent être les priorités de tous les porteurs de lentilles. Lavez-vous les mains avant de poser ou de retirer les lentilles. L’eau du robinet est à éviter, car elle n’est pas stérile. Rincez vos lentilles avec une solution saline et nettoyez leur étui avec des produits adaptés. Le col du récipient de nettoyant ne doit pas entrer en contact avec vos lentilles ni avec vos doigts. Assurez-vous qu’il soit exempt de germe. Il en est de même pour le récipient de conservation. Utilisez des solutions nettoyantes adaptées à vos lentilles afin d’éviter les réactions chimiques qui sont potentiellement nocives.

Combien de temps faut-il porter les lentilles de contact ?

Les spécialistes ne recommandent pas le port des lentilles 24 h/24 et 7 j/7. Allez-y doucement, donnez à vos yeux le temps de respirer et de s’y habituer. 4 heures, c’est déjà suffisant pour le premier jour. Vous pouvez ensuite augmenter progressivement à 2 ou 3 heures supplémentaires par jour. En règle générale, la durée de port maximale ne doit pas dépasser 8 heures par jour.

Les consommations ayant des effets indésirables

Il est à savoir que durant une prise de médicaments à long ou à court terme, il y a certains aliments et substances qui ne doivent surtout pas être consommés. Ces derniers annulent les effets des médicaments sur la santé et les empêchent d’agir comme il se doit. Pour être certain de ne pas faire de mauvais mélanges, il est préférable de toujours demander l’avis d’un médecin au préalable.
D’un autre côté, il n’y a pas que les aliments qui ont de telles conséquences sur la prise de médicaments. Un mélange de plusieurs types de comprimés ou de sirop peut également créer une interaction rendant le traitement dangereux. Pour éviter ce genre de problèmes, il est toujours conseillé de prendre un médicament à la fois.

Des exemples de produits à éviter

Il serait difficile de le croire, mais manger un pamplemousse pendant une prise médicamenteuse empêcherait ces derniers d’agir efficacement. Et ce n’est que le tout premier exemple dans une longue liste de produits à éviter.
Dans un cas général, c’est surtout le pamplemousse, les produits laitiers et l’alcool qui sont les produits à éviter à tout prix. La prise d’alcool est notamment plus néfaste durant un traitement à base de benzodiazépines et d’opiacés. Pour les produits laitiers, on les évitera pendant tout traitement à base de fer.

Ce qu’est une entorse lombaire

Une entorse lombaire est aussi appelée lombalgie. Il s’agit d’une blessure de la colonne vertébrale. Ce sont les ligaments dans le bas du dos qui sont atteints. Le plus souvent, c’est le ligament ilio-lombaire situé entre le bassin et la dernière vertèbre lombaire. D’habitude, ce ligament est très résistant, parce que c’est le stabilisateur entre les vertèbres lombaires et le sacrum. Parfois, l’atteinte traumatique s’étend aux tissus mous alentour, tendons ou muscles. Donc, lorsqu’il y a une entorse lombaire, ces tissus mous sont susceptibles de s’enflammer et c’est cette inflammation qui est à l’origine de la douleur. Outre la douleur, vous pourriez aussi ressentir des spasmes musculaires qui peuvent survenir aussi bien pendant les activités qu’au repos. La douleur peut être de modéré à intense, mais soudaine. Elle commence à se faire sentir dans le bas du dos, mais peut s’étendre sur les deux côtés et irradier jusqu’à la fesse ou à la cuisse. La douleur peut augmenter lorsque vous faites des efforts, lorsque vous vous accroupissez ou que vous essayez de tourner votre corps vers la gauche ou vers la droite. Vous pourriez aussi avoir du mal à rester debout longtemps, vous asseoir de longues heures ou peiner à bouger tout simplement. Il peut arriver que vous sentiez de la raideur dans tout le corps, surtout le matin au lever.

Comment traiter une entorse lombaire ?

En cas d’entorse lombaire ou de lombalgie, le repos est le premier remède recommandé par tous les médecins. Cependant, ne restez pas alité trop longtemps, vous risquez d’accroître la raideur de votre dos. Petit à petit, selon vos capacités, reprenez vos activités habituelles, mais en évitant à tout prix de soulever de lourdes charges ou de vous asseoir trop longuement. Faites quelques pas régulièrement ainsi que des étirements pour assouplir progressivement votre dos. Cliquez ici pour en apprendre plus sur l’entorse lombaire et son traitement. Pour obtenir des solutions efficaces, il faudrait se rapprocher d’un physiothérapeute. Il trouvera la meilleure technique pour vous soulager. Ce peut être un programme d’exercices ciblés et adaptés pour rendre votre dos plus souple ou des techniques de relâchement des tissus mous. Il y a aussi des exercices de renforcement de la musculature stabilisatrice lombaire ainsi que des exercices d’étirement des raideurs. Les séances avec le physiothérapeute vous montreront aussi comment adopter une meilleure posture au quotidien, mais surtout, le spécialiste vous fournira les conseils pour ne plus avoir à endurer ces souffrances. En prenant de bonnes habitudes de posture et en faisant attention à certains mouvements, vous pouvez éviter de nouvelles lombalgies. Il convient enfin de noter que certaines mutuelles de santé remboursent les séances de physiothérapie.