Quelles sont les causes de la maladie de Berger ?

La maladie de Berger peut être causée par des facteurs génétiques et auto-immunes. A préciser toutefois que ce n’est pas une maladie génétique parce qu’il faut la combinaison de plusieurs caractéristiques génétiques pour qu’elle se développe. Des études ont montré que la maladie de Berger peut apparaître en raison d’une participation des amygdales, des muqueuses ORL ou des muqueuses des intestins. Lorsque ces muqueuses produisent d’innombrables immunoglobulines, la maladie de Berger peut survenir. Il faut aussi noter que cette maladie n’est pas héréditaire. Elle peut être asymptomatique, surtout au début. Sinon, on note la présence de sang dans les urines, lors d’infections ORL ou respiratoires telles que les angines ou les bronchites.

Les traitements possibles de la maladie de Berger

Pour traiter la maladie de Berger, les médecins prescrivent des anti-hypertenseurs. Ceux-ci permettent de réduire le taux de protéines urinaires et ont prouvé leur efficacité dans le traitement de cette maladie. Il s’agit des Inhibiteurs d’enzymes de conversions (IEC) et les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine (ARA-II). Puisque les risques cardiovasculaires sont importants en cas de maladie de Berger, les médecins conseillent également un régime alimentaire très strict, en privilégiant les aliments frais, pas trop salés, pas trop sucrés ni trop gras. Les patients atteints de cette maladie doivent aussi continuer à pratiquer une activité physique adaptée et stopper le tabac au plus vite. Les corticoïdes peuvent être envisagés mais avec prudence.

Ce qu’est une entorse lombaire

Une entorse lombaire est aussi appelée lombalgie. Il s’agit d’une blessure de la colonne vertébrale. Ce sont les ligaments dans le bas du dos qui sont atteints. Le plus souvent, c’est le ligament ilio-lombaire situé entre le bassin et la dernière vertèbre lombaire. D’habitude, ce ligament est très résistant, parce que c’est le stabilisateur entre les vertèbres lombaires et le sacrum. Parfois, l’atteinte traumatique s’étend aux tissus mous alentour, tendons ou muscles. Donc, lorsqu’il y a une entorse lombaire, ces tissus mous sont susceptibles de s’enflammer et c’est cette inflammation qui est à l’origine de la douleur. Outre la douleur, vous pourriez aussi ressentir des spasmes musculaires qui peuvent survenir aussi bien pendant les activités qu’au repos. La douleur peut être de modéré à intense, mais soudaine. Elle commence à se faire sentir dans le bas du dos, mais peut s’étendre sur les deux côtés et irradier jusqu’à la fesse ou à la cuisse. La douleur peut augmenter lorsque vous faites des efforts, lorsque vous vous accroupissez ou que vous essayez de tourner votre corps vers la gauche ou vers la droite. Vous pourriez aussi avoir du mal à rester debout longtemps, vous asseoir de longues heures ou peiner à bouger tout simplement. Il peut arriver que vous sentiez de la raideur dans tout le corps, surtout le matin au lever.

Comment traiter une entorse lombaire ?

En cas d’entorse lombaire ou de lombalgie, le repos est le premier remède recommandé par tous les médecins. Cependant, ne restez pas alité trop longtemps, vous risquez d’accroître la raideur de votre dos. Petit à petit, selon vos capacités, reprenez vos activités habituelles, mais en évitant à tout prix de soulever de lourdes charges ou de vous asseoir trop longuement. Faites quelques pas régulièrement ainsi que des étirements pour assouplir progressivement votre dos. Cliquez ici pour en apprendre plus sur l’entorse lombaire et son traitement. Pour obtenir des solutions efficaces, il faudrait se rapprocher d’un physiothérapeute. Il trouvera la meilleure technique pour vous soulager. Ce peut être un programme d’exercices ciblés et adaptés pour rendre votre dos plus souple ou des techniques de relâchement des tissus mous. Il y a aussi des exercices de renforcement de la musculature stabilisatrice lombaire ainsi que des exercices d’étirement des raideurs. Les séances avec le physiothérapeute vous montreront aussi comment adopter une meilleure posture au quotidien, mais surtout, le spécialiste vous fournira les conseils pour ne plus avoir à endurer ces souffrances. En prenant de bonnes habitudes de posture et en faisant attention à certains mouvements, vous pouvez éviter de nouvelles lombalgies. Il convient enfin de noter que certaines mutuelles de santé remboursent les séances de physiothérapie.

L’intoxication alimentaire : principale cause de la maladie

Attraper une gastro-entérite ne signifie qu’une chose, c’est la conséquence d’une intoxication alimentaire. En tant qu’inflammation, cette maladie est principalement due à des bactéries présentes dans l’alimentation. Il est alors nécessaire de faire attention à la préparation des repas au quotidien. Pour cela, tous les fruits et légumes doivent être bien nettoyés avant leur consommation.
Les dates de péremption de la viande et de la volaille doivent être vérifiées avant tout achat, sans oublier celle des œufs. Au quotidien, il faudra éviter de recongeler de la nourriture qui a déjà été décongelée auparavant. S’il y a des restes de repas, ils doivent être mis au frigo dans les deux heures qui suivent leur cuisson.

Diminuer les risques de transmission

Si au sein d’un foyer une personne est déjà contaminée par une gastro-entérite, il y a des risques que la maladie se transmette aux autres. Les gestes d’hygiène doivent être mis au premier plan et appliqués rigoureusement. Cela concerne tout particulièrement le lavage des mains après un passage aux toilettes et surtout avant de consommer toute nourriture.
Toute surface touchée par la personne infectée doit être lavée après son passage. Cela concerne le lavabo, la douche, mais surtout les toilettes. Toute nourriture, couverts ou encore serviettes de douches doit être à usage personnel et ne doivent pas être partagés avec le malade.

Ce sont plus que de simples douleurs

Il y a plusieurs types de douleurs aux pieds : douleurs osseuses, douleurs musculaires, douleurs articulaires, douleurs ligamentaires, douleurs tendineuses et douleurs nerveuses du pied. Il ne faut pas oublier que le pied est composé de 26 os, de nombreuses articulations, de muscles intrinsèques et extrinsèques, de tendons et de ligaments. Des vaisseaux sanguins et de nombreux nerfs parcourent également le pied. Toutefois, certaines de ces douleurs peuvent être les symptômes de maladies plus importantes, plus graves, auxquelles il faut prêter une attention particulière. Cela afin que les choses ne dégénèrent et que la maladie en cause ne persiste. D’ailleurs, la manifestation des douleurs n’est pas toujours la même. On peut les ressentir au-dessus du pied, en-dessous -c’est-à-dire à la plante du pied, au talon ou sous les orteils-, à l’avant ou à l’arrière du pied. Ce guide médical exhaustif des pathologies du pied peut vous aider à identifier les différentes maladies du pied et les traitements possibles.

Causes des douleurs au pied

Lorsqu’on a mal au pied, on peut apercevoir des rougeurs, un gonflement, des ampoules, des cors et des durillons, des ongles incarnés, une raideur articulaire et on peut avoir des difficultés à bouger ou à poser le pied. Pourquoi a-t-on mal au pied ? Etant donné que c’est au pied de supporter notre corps tout au long de la journée et qu’il participe au mouvement, il est donc sollicité jour après jour. On en use constamment et beaucoup. Les douleurs peuvent donc être dues à des frottements excessifs et répétés, une fatigue musculaire, un violent choc, une fasciste plantaire (inflammation du fascia plantaire) ou une tendinite (inflammation des tendons). Par ailleurs, des douleurs au pied peuvent être causées par une malformation ou une déformation du pied. Cela peut être une déviation du gros orteil, appelé hallux valgus, une déformation des orteils ou ce qu’on appelle communément orteils en marteau, une déformation progressive des orteils ou orteils en griffe, le pied plat, le pied creux et le pied bot.

Reconnaître les douleurs et leurs symptômes

Si le pied gonfle et que les douleurs se situent principalement sur le gros orteil, il peut s’agit de l’arthrite du pied ou de la goutte. Les douleurs surviennent alors par crises. Mais des douleurs touchant le gros orteil peuvent être aussi les manifestations d’une arthrose du pied appelée hallux rigidus. Si les douleurs sont intenses au niveau d’un seul pied, il peut s’agir d’un névrome de Morton, dû à une compression d’un nerf à l’avant du pied. Dans le cas où la circulation sanguine ne fonctionne pas correctement à cause d’un caillot de sang, on peut supposer que c’est une phlébite, ou trouble veineux. Si jamais les douleurs s’étendent et affectent d’autres parties des membres inférieurs, elles peuvent entraîner la paralysie du pied.

Ce terrible mal qu’est l’Alzheimer

Malheureusement, en dépit des progrès scientifiques et les avancées médicales, on n’a toujours pas trouvé comment en guérir. Toutefois, il est possible de prévenir l’Alzheimer et en retarder la survenue. Tout le monde devrait tenir compte de ces mesures car, comme on l’a dit, la maladie peut frapper n’importe qui, personne n’est donc totalement à l’abri et encore moins, immunisée contre. La première mesure recommandée est de limiter autant que possible la consommation de viande et notamment, de viandes industrielles car comme on le sait tous, elles contiennent souvent des toxines. Aussi, si on en a la possibilité, la viande bio est à privilégier ou tout au moins, réduire considérablement sa consommation.

Non à l’Alzheimer !

Il est prouvé que la vitamine D est efficace pour repousser l’Alzheimer, tout du moins, retarder sa survenue. Les personnes qui ont des apports importants en vitamine D présentent 4 fois moins de risques de contracter cette maladie. Ce qui veut dire qu’il est vital de s’exposer au soleil de manière régulière, et le meilleur moment de la journée est à la mi-journée car alors, la synthèse de vitamine D dans la peau est au summum. L’acide gras oméga-3 apporte une arme supplémentaire pour lutter efficacement contre l’Alzheimer. On en retrouve surtout dans les poissons gras que tous devraient privilégier et en consommer 3 portions par semaine. Les maquereaux, les anchois et les sardines sont parmi les meilleurs. En fait, l’acide gras oméga-3 est un des acides gras présents naturellement dans le cerveau, le DHA, et avec l’âge, celui-ci diminue. Donc, ce qu’il faut faire, c’est de maintenir un niveau élevé de DHA dans le sang. Si on craint de consommer des poissons contaminés, on peut se tourner vers les compléments alimentaires sous forme de gélules.

On peut faire beaucoup pour lutter contre l’Alzheimer

Il existe une épice qualifiée d’anti-Alzheimer par excellence, c’est la cannelle. Cette épice a la capacité de ralentir l’apparition de l’Alzheimer, aussi, on ne se prive pas d’en mettre dans la plupart de ses plats. Le café aussi, aussi improbable que cela paraisse, peut faire baisser de 20 % le risque d’Alzheimer, mais pour qu’il puisse apporter la protection nécessaire, il faut en boire entre 3 et 5 tasses par jour. Si une personne souffre du diabète, elle doit absolument suivre un traitement adéquat car cette maladie favorise l’autre qui est même appelée « diabète de type 3 ». Et en cas d’hypertension, il est impératif de la traiter correctement car c’est un des facteurs qui favorisent le plus la survenue de l’Alzheimer. Consommer des légumes verts peut aider énormément et il faut éviter le surpoids et l’obésité.

Le cancer métastatique

Pour commencer, rappelons que le cancer métastatique est aussi appelé métastase donc, ou tumeur métastatique, maladie métastatique ou cancer avancé. Toutes ces appellations indiquent la même chose, ou plutôt le même stade d’une maladie. En fait, un cancer peut se développer au point de se propager dans d’autres parties du corps. Le point de départ d’un cancer est ce qu’on appelle tumeur primitive et lorsqu’un cancer s’étend autour de ce point de départ et envahit d’autres zones, il est alors question de cancer métastatique. Mais le cancer métastatique, comme le cancer primitif est composé des mêmes types de cellules cancéreuses. Une précision tout de même : certains cancers sont en eux-mêmes des cancers généralisés et n’ont pas lieu d’être appelés cancers métastatiques. C’est le cas de la leucémie ou encore du myélome multiple ou encore le lymphome. Cependant, tous les autres types de cancers ont la capacité de se développer et de se propager autour d’eux.

Facteurs de risque

Une personne qui a contracté un cancer peut ne jamais développer un cancer métastatique. Le fait que tous les cancers peuvent devenir métastatiques ne veut pas dire que ça l’est de façon systématique chez tous les cancéreux. Pour qu’un cancer se propage dans d’autres parties du corps, certains facteurs entrent en jeu. Lesquels ? Le type de cancer en question est un facteur prépondérant, de même que le niveau du cancer. Le lieu où se loge le cancer primitif ainsi que sa taille peuvent également influer sur sa propagation. Le temps durant lequel ce cancer primitif a déjà fait son œuvre peut aussi compter, de même que la réaction du patient aux traitements prodigués. De plus, il faut savoir qu’entre le moment où une personne contracte un cancer primitif et celui où ce cancer devienne métastatique, plusieurs années peuvent s’écouler. Et il arrive également qu’au moment où l’on diagnostique un cancer, celui-ci est déjà métastatique.

La propagation proprement dite

Comment se fait cette propagation ? En fait, les cellules cancéreuses migrent vers un autre endroit du corps, il y a donc déplacement. Premièrement, le cancer primitif s’étend vers les tissus ou alentours, c’est ce qu’on désigne par « invasion ou extension directe ». Deuxièmement, les cellules cancéreuses se déplacent via le système lymphatique. Et en troisième lieu, ces cellules peuvent entrer dans la circulation sanguine et s’en vont se loger dans d’autres zones du corps. Bien que le système immunitaire soit censé détruire ces cellules cancéreuses, certaines d’entre elles parviennent à échapper à ces attaques et migrent vers d’autres régions du corps pour former une nouvelle tumeur. Et afin de se développer dans cette nouvelle zone, elles créent leurs propres vaisseaux sanguins. Mais il faut se rappeler que des traitements de cancer métastatique existent.